Départ Marseille – Destination Chiang-Maï – Thaïllande, climat tropical.
Et que voit-on à travers le hublot 3 h après avoir quitté Roissy ? D’abord une multitude de tâches bleues : des îles au milieu de la mer. Puis une multitude de tâches blanches : les lacs gelés au milieu des terres dégelées.
Puis carrément la mer qui devient gelée. On ne nous avait pas prévenus !
Les traces rectilignes sur la photo ci-dessous sont les traces des bateaux ou brise-glace que l’on voyait passer en direction de St-Petersbourg,
Puis survol de la Russie avec des étonnants crochets dans la trajectoire : on sent bien que cela contrarierait beaucoup Mr Poutine que l’on survole certaines zones de son pays. Du moment qu’il ne nous tire pas dessus pour cause d’écart par rapport à la trajectoire, comme l’URSS l’avait fait en abattant un 747 de la Korean Airline… Du coup, on a appris que nous devons à cette tragédie d’avoir des GPS dans nos smartphones, puisque les USA ont alors autorisé le GPS pour les usages civils afin que cela ne se reproduise plus.
Puis encore un avion à partir de Bangkok et nous arrivons à Chang-Maï, 27 heures après avoir quitté Marseille. Vous aurez deviné que notre escale Nordique était Scandinave, en l’occurrence Helsinki. L’aéroport est un immense centre commercial : pas de salle d’embarquement, on accède et on quitte les avions au milieu des boutiques et des bars.
Et d’après vous, quelle est la spécialité typiquement finlandaise vendue dans les boutiques de souvenirs ? Le père Noël ! Et toute l’année : sapins, traîneaux, et peaux de rennes (super douces au toucher). Et à part le père Noël ? Pas grand-chose en fait.
