Nous avions une mauvaise image de Malaga en tant que base arrière aéroportuaire du tourisme de masse. En fait, nous avons vite réalisé que la ville était fort agréable, et avait une histoire. Commençons par l’Alcazaba, sorte de cité de Carcassonne d’El Andalus avec un véritable théatre en pierre au pied.
Un autre quartier du centre-ville est un musée à ciel ouvert : les murs aveugles sont devenus les supports de véritables peuvres d’art. Bluffant !
En quittant le centre-ville direction le front de mer, Malaga montre un visage moderne très réussi agrémenté en arrière de très beaux espaces naturels très bien aménagés et entretenus : les ‘Campos Elyseos’ avec végétation tropicale sur toute l’avenue très impressionnante : palmiers en tous genres, oiseaux du paradis, énormes balisiers…
Ballade parallèle sur le port avec palmiers et pergola blanche linéaire. Au bout, le centre Pompidou surmonté de son cube de verre multicolore, et centre d’Art intéressant avec quelques oeuvres réussies ou originales comme ce banc à la Gaudi et cette sorte de toile d’araignée dessiné reproduisant un rond central avec ses imperfections.