9 Mai 2019 : Jour sans vent, nous louons donc un scooter et c’est parti. Nous démarrons par la pointe Est de la baie de Naoussa, qui dévoile de belle vues. 
Puis plage de Santa-Maria. Nous longerons ensuite la côte le plus possible, jusqu’à Golden Beach (aussi appelée Chrysi Akti), autre plage réputée de Paros. Franchement, pas de quoi écrire à ses parents.
Le village perché de Lefkès, le plus réputé de l’île, offre une belle vue sur son immense église. Si vous faites uniquement Paros comme île des Cyclades, ok. Sinon vous en verrez probablement de plus beaux ailleurs.
Plus petit, moins perché mais plus authentique, avec accueil très sympa des habitants Grecs, le village de Prodromos. A Marmara, le village juste en-dessous, trône un moulin en excellent état, le premier que nous découvrons avec des voiles. Le village de Marissa, juste en dessous, ne nous a pas vraiment emballés.
Trois petits tours au port de Piso Livadi et puis s’en vont :
Un peu plus loin, une mère et sa fille. Au vu de son teint rougeot et des tuiles qu’a subies la fille, on suppose que le père n’est pas Grec :
La grande île de Naxos en arrière-plan :
Le Port d’Alyki où la digue du mini-port sert également d’extension de terrasse au restaurant :
Les Grecs ont inventé la dialectique avec Thèse et Antithèse. Moins connu, on leur doit aussi Paros et Antiparos. Entre les deux îles, un kilomètre à peine et quelques magnifiques îlots :
A Parikia, la plus importante bourgade et port de Paros, une imposante église ‘aux cent portes’ datant du IVème Siècle nous a surpris. On n’en a pas vu beaucoup de ces 100 portes, mais on ne s’attendait pas à voir un aussi grande église avec sa petite sœur à côté. Et puis des édifices en pierres apparentes, pas blanc donc, çà fait tout drôle ici.
Promis, nous n’avions rien fumé ce jour-là, ni moquette, ni féta séchée. Du coup, on a bon espoir de tomber sur un éléphant de la même couleur avant la fin du voyage :
Ce bleu partout. Magnifique.