19 Novembre 2025 : Il fallait bien que nous passions par Cancun, le temple du tourisme de masse made in USA pour prendre l’avion pour le Costa Rica. Son aéroport est celui qui offre le plus de possibilités au niveau international (plus que Mexico). Alors, disons le tout de suite, nous nous attendions à pire. Après Cozumel, temple du tourisme de masse made in USA, mais de croisière cette fois, où accéder à une plage publique s’avère quasiment impossible, nous pensions ne pas apercevoir la mer derrière le mur d’hôtels. Et bien nous l’avons vue ! Car Cancun propose plusieurs plages publiques, et plutôt belles même ! Voici celle des Dauphins, équipées de ‘palapas’


La plage publique d’El Niño, proche d’un petit port de pêche, n’est pas aussi turquoise, mais elle n’est quand même pas mal, avec elle aussi ses palapas sympas . Et elle donne envie de déguster du poisson frais dans les restaurants voisins :



La zone hôtelière s’étire sur une bande de sable d’une vingtaine de kilomètres (en bas puis à gauche sur la photo de notre drone virtuel). Celle-ci délimite une grande lagune (au centre) idéale pour le parachute ascensionnel, bouée tractée et autres loisirs à hautes émissions carbone. De l’autre coté (peu visible sur la droite), la ville de Cancun abrite tous les employés et services de la zone hôtelière. Car en 1970, avant que ne démarre la grande bétonisation pour Américains, Cancun n’était qu’un petit village de pêcheurs. Le succès a été aussi rapide et phénoménal et aujourd’hui 10 millions de touristes très majoritairement Américains déferlent chaque année sur cette bande de sable.

L’architecture des hôtels de luxe pour la plupart, ne justifie vraiment pas d’écrire à ses parents :


Une découverte totalement inattendue nous a montré que la nature réussissait à survivre dans Cancun: première rencontre avec des coatis, cousins de ratons-laveurs (cf. leur queue) que nous retrouverons avec plaisir au Costa-Rica :


