De BALI à FLORES

3 Août 2018 : Magnifiques retrouvailles avec RV et Fanfan, amis voyageurs invétérés en provenance directe de Fuveau.

Cela se passe au check in de la Nam Air. Ils enchainent avec nous sur un vol Bali – Florès.  Après quelques selfies devant les monstres de la culture balinaise, nous survolons les îles de Rinca et Komodo où nous espérons revenir dans 15 jours sur terre et sous l’eau cette fois. Elles sont superbes vues d’en haut, mais si jamais en plus on peut rencontrer des dragons de Komodo et des raies mantas…

 

 

 

 

Arrivée à l’aéroport de Maumere où l’unique tapis bagages de 3,5 m de long nous indique que nous avons changé de monde tout en restant en Indonésie. Florès va nous enchanter. Finis la foule, le vacarme, et la pollution du Bali 2018. Place au rythme cool, à la gentillesse et au sens de l’accueil des habitants. Le Bali d’avant l’explosion touristique. D’ailleurs, il y a un signe qui ne trompe pas : Parmi les quelques touristes croisés tout au long de notre périple trans-Florès, il n’y a plus un seul Chinois et plus de la moitié sont français. D’un autre côté, le développement économique n’est pas le même et parmi les indices qui ne trompent pas, ce tableau de chargement des batteries de téléphone chez un petit commerçant car l’électricité est loin d’arriver dans toutes les maisons.

Avec comme camp de base le Budi Sun, adorable resort en bord de plage spéciale couchers de soleil, bichonnés par une non moins adorable équipe, nous allons rayonner autour de la baie de Maumere. Découverte des sources chaudes de l’Egon grâce à François, marin français tombé amoureux d’une policière locale. Mais nous ne savions pas que l’eau sortait directement à 80°C, d’où nos têtes sur la photo prise par Joëlle, moins impatiente. Mais une fois que l’on a trouvé le bon endroit où s’équilibre la température entre les eaux froides du torrent à droite et les eaux brulantes à gauche, c’est le paradis en pleine forêt tropicale !

Puis petit intermède musical le temps d’échanger par guitare interposée avec les musiciens du coin. Alors qu’à quelques encablures, les musiques indonésienne et Balinaise sont très différentes, ici, l’influence est totalement Maori. Etonnant ! Nous sommes tout d’un coup à Tahiti !

Nous passerons ensuite une journée en mer qui mérite à elle seule le Post suivant.

 

 

 

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