MOOREA, Paradis sur TERRE

9 au 13 octobre 2023 : Nous avions survolé Moorea en allant sur Bora-Bora, et l’île nous avait vraiment donné envie de la découvrir. Nous n’avons pas été déçus ! L’île concentre le plus beau de la Polynésie : un lagon turquoise genre Bora, des montagnes aiguisées style Marquises, des fruits généreux comme à Taha, un sens de l’accueil légendaire comme dans toute l’archipel… et même une distillerie de rhum !

Voici un petit tour de l’île à l’exception des superbes baies de Cook et Opunohu faisant l’objet d’un post spécifique. Le reste n’est pas mal non plus à commencer par la baie de Nuarei. Un piscine naturelle à débordement de 10 km² : aucun hôtel de luxe ne peut s’offrir cela

… sauf le Sofitel implanté dans le lagon, avec son traditionnel espace pour les ‘honeymooners’ :

 

La plage de Temae qui la borde au Nord est publique…

 

… au contraire de celle du Tipanier. Mais en disant que vous avez loué un kayak ou un bateau, on vous laissera passer sans problème.

 

A côté, se trouve le site plus ou moins abandonné de l’ancien Club Méditerranée.  La photo est prise depuis le chenal où se reposent généralement les tortues marines. Nous y sommes venus 2 fois, elles n’y étaient pas. La nature est imprévisible…

Les montagnes sont toujours aussi spectaculaires :

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Si vous rajoutez à cette nature généreuse, la gentillesse habituelle des Polynésiens, l’abondance de fruits dont nos hôtes nous ont fait profiter, nous ne sommes pas loin du paradis. Ou plutôt nous y étions, car la surdensité croissante du tourisme dégrade quelque peu la situation :  les constructions privées qui empêchent l’accès au littoral presque tout le long , les paquebots et les bateaux ‘Tour de l’île’ bondés qui nourrissent les poissons (tout en prolongeant dans l’eau le tintamarre alcoolisé débuté sur le navire),  la densification des constructions qui entraine sur certains terrains le manque voire l’absence d’eau et d’électricité… tout cela augmente la pression écologique et les autorités vont être conduites, sans trop tarder, à cadrer cela. Une chose est sûre, nous avons trop aimé Moorea et la Polynésie. Nous n’avons qu’une envie : revenir au plus vite.

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